jeudi 29 octobre 2015

Le progès technique



Retranscription du cours

Sur une échelle arithmètique, traduisant une amélioriation des performances de facteurs constant chaque année. Depuis 5 ans les performances des techniques exposent litéraleemnt et suivent des lois géométriques. On ajoute plus chaque année un facteur constant. Pour rendre compte de ce progrès, il faut alors avoir recours à des représentations logarymiques qui permettent de retrouver la linéarilisation des évolutions.

Tout le monde connaît la Loi de MOORE? du nom du fondateur d'Intel.

Cette loi illustre les lois sur le progès technique des micro-processeurs, du nombre de transistors qui s'y trouvent et double tous les 2 ans.

Cette loi n'est pas de nature physique mais un objectif que l'industrie des semi-conducteurs a sur respecter depuis plus de 40 ans.
Elle devrai trouver sa limite avec l'atteinte des échelles moléculaire mais d'autres solutions permettent vraisemblablement de cantonner ce nom physique, la plupart des technologies numériques connaissant des progrès similaires qui conduisent à conduire la loi MOORE ou de ses équivalents du numérique comme emblématique.

Infiniement grand et infiniment petit. Exprimé sur les échelles du système décimal, les performances des systèmes en 10 ou 20 ans on saute de l'unité à la suivante, mille fois plus grande et l'échelle de l'infinimnt petit, celle des échelles auxquelles on tavaille la matière, celle de la miniaturisation qui va de paire avec la consommation de moindre énergie. La technologie offre des capacités dépassant le tetra et donc se situe entre le Peta et l'hexa.

Performance  
          
EXA
PETA
GIGA
MEGA
KILO

Miniaturisation

FEMTO
ATTO

tani qu'elle tvaill à des échlles mico ou nanoscopiques e de qon doblle la capacé d'un système tous les ans, c'est dire que dans l' année qui vient, on fera autant de progrès que depuis l'origine de ce système technique considéré. Un smarphone, une mémoire, un robot etc...
La norme des performances se fait rarement à prix constant mais s'accompagne plutôt d'une baisse de prix, paradoxe de la vélocité. Cette vélocité du progès technique induit des effets paradoxaux, dont 3 doivent être souligés :

1. Toutes les techniques ne progressent pas à la même vitesse, créant des écarts qui s'affirment très vite du fait de la rapidité du progrés entre par exemple les technologies, les logiciels et les technologies matérielles.
Cette absence d'homothéthie dans ce progès technique conduit à des subtitutions fréquentes de techniques dans les systèmes complexes et explique notamment pourquoi à certains moments la modernité s'impose pôur permettre de substituer des bribes techniques au sein même de ces systèmes complexes.

2. le progès résulte fréquemment d'innovation de rupture comme on été le laser ou le micro-processeur. L'innovatioon se présente paradoxaleemnt au quotidien de façon très incrémentale pour des agents économique, tant les consommateurs que les producteurs afin de ne pas produire trop de décallage trop forts en matière de concurrence ou d'usages.
3. Tout projet d'innovation bâti dans un contexte numérique doit anticiper l'univers dans lequel il verra le jour, cette anticipation est délicate mais rien ne peut rester égal ailleurs, en 2025 nos spartphones, nos voitures ou nos robots auraont la puissance des plus gros supercalculateurs d'aujourd'hui.

Laurent GIlle, professeur d'économie.

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